mercredi 7 février 2018

De Port-Saint-Louis à Pollensa 14 - 17 août 2017





14-15 août

Nous quittons PSL , direction Minorque (200 miles) au près dans une mer peu agitée




Belle journée , 2 dauphins passent nous voir mais ne restent pas
Très belle nuit : lune , étoiles filantes mais sommeil difficile : le bateau tape dans la mer …
3h30 du matin , on fait le point : si on continue vers Minorque , ça veut dire une 2ème nuit en mer dans les mêmes conditions ; on décide d’obliquer vers la côte espagnole : on sera travers , ce sera plus agréable et on pourra dormir la nuit prochaine pour récupérer.
Ce qui est dit est fait !
Et nous arrivons à Palamos , le 15 vers 15 h ; on mouille devant la plage

                       


Baignade , soirée tranquille

16 août
Départ de Palamos vers 9 h ; temps légèrement nébuleux , 2 nds de vent , moteur pendant une petite heure puis le vent se lève et ne nous quittera plus jusqu’à l’arrivée : traversée totale à la voile , c’est rare !
Les nuages atténuent la chaleur ; on aperçoit des dauphins mais ils ne viennent pas nous voir : le dauphin  méditerranéen n’est donc pas joueur ( ?)
En fin d’après-midi JF prend un ris puisque le vent forcit
Vue la direction du vent , nous n’irons pas à Minorque mais dans la baie de Pollensa au nord de Majorque ; nous allons trop vite et cela nous fera arriver de nuit dans une baie que nous ne connaissons pas ; on décide de réduire la voilure pour ralentir : 2ème ris et 3 tours dans le génois.
On continue à bonne allure quand même !!
Vers 5h du matin , toujours nuit noire ( + lune et étoiles ) en vue de Majorque et du phare signalant l’entrée de Pollensa , on roule le foc presque complètement pour ralentir  et nous arrivons à petite vitesse sur Majorque en attendant le lever du soleil
Entrée dans la baie de Pollensa avec les premiers rayons





On mouille derrière la pointe de l’Avenzada : petit-déjeuner et dodo …





Dans l’après-midi , départ à terre pour exploration et quelques courses
Descendre le moteur dans l’annexe puis nous-mêmes est une opération délicate et souvent humide vu la quantité d’engins à moteurs qui sillonnent les lieux à pleine vitesse et génèrent des vagues qui envoient valdinguer l’annexe dans tous les sens ….


Le moteur de l'annexe refuse de démarrer ....
Décision est prise d’aller à terre à la rame malgré la distance et le plan d’eau toujours agité ( vent + engins à moteur )


Courses , bistrot et retour en arc de cercle pour ne pas avoir le vent dans le nez
A l’arrivée , grosse, grosse vague : on est trempés et furieux …

Nuit paisible

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